Titanic : Un capitaine dans le déni
- georgesvlld
- 1 oct.
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Dernière mise à jour : 28 oct.

Le Titanic est une tragédie qui dépasse le naufrage lui-même. C’est l’histoire d’un capitaine qui continue à avancer droit devant, malgré les signaux d’alerte. Il savait mais il n’a rien changé : ni la trajectoire, ni la vitesse, ni la stratégie. Et même au moment du naufrage, l’orchestre continue de jouer.
Ce n’est pas l’iceberg le danger. C’est le déni et le refus de le voir. Dans l’entreprise, l’iceberg prend souvent la forme de coûts qui dérivent lentement : des abonnements inutiles, des contrats jamais renégociés, des charges que l’on considère “normales”. Rien d’alarmant au premier abord, jusqu’à ce que l’impact soit fatal pour la rentabilité. Ignorer les signaux faibles, c’est choisir de percuter l’iceberg au lieu de corriger la trajectoire. Et comme sur le Titanic, tout semble sous contrôle… jusqu’au moment où il est trop tard.
Revoir ses dépenses et remettre en question ses habitudes demande du courage, certes, mais c’est ce qui distingue les dirigeants clairvoyants de ceux qui coulent lentement sans le savoir. Sur le Titanic, le drame n’est pas d’avoir croisé un iceberg. C’est d’avoir refusé de changer de route. Dans l’entreprise, le naufrage ne vient pas d’un forcement d'un accident, mais très souvent d’une accumulation de manque de lucidité et d'anticipations.
Chez Prométhée Stratégie, nous aidons les entreprises à voir les icebergs avant l’impact et à ajuster le cap car la maîtrise n’est pas un luxe mais une nécessité.
Ne laissez plus vos marges être heurtées par la dure réalité. Agissez avant.



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