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Serge Gainsbourg : Une flamme iconique
En 1984, en direct dans l’émission 7 sur 7 sur TF1, Serge Gainsbourg sort un billet de 500 francs, un briquet, et l’enflamme sous les yeux d’un public médusé. Un geste provocant, certes, mais surtout un acte symbolique : montrer, avec une puissance rare, l’absurdité de l’argent gaspillé. Trente ans plus tard, la scène reste gravée dans les mémoires et pourtant, chaque jour, des entreprises reproduisent le même geste sans même s’en rendre compte. En effet, chaque contrat mal n


Matrix : Le choix du réel
Dans Matrix, Neo se voit offrir un choix : la pilule bleue, pour continuer à vivre dans un monde confortable, rassurant mais illusoire, ou la pilule rouge, pour affronter la vérité et voir le monde tel qu’il est vraiment. Un choix simple, mais lourd de sens : La lucidité a un prix, celui du courage. La pilule bleue : le confort de l’habitude Dans la vie d’une entreprise, la pilule bleue, c’est le quotidien : les factures qu’on règle sans les regarder, les contrats qu’on renou


Le Joker : Un message brulant
Dans "Batman - The Dark Knight", une scène est devenue mythique : le Joker, impassible, met le feu à une montagne de billets et des millions de dollars partent en fumée. Un acte insensé ? Pas tout à fait. Le Joker n’agit pas par folie, mais par stratégie. Il veut prouver que, pour lui, l’argent n’est qu’un outil, et que son véritable pouvoir réside ailleurs : dans le message. L’argent parle toujours. Reste à savoir ce qu’il dit. Dans le monde de l’entreprise, chaque euro dépe


Le Loup de Wall Street : Le début de la fin
Dans Le Loup de Wall Street, Jordan Belfort vit dans une démesure totale : jets privés, yachts, voitures de sports, fêtes interminables... Tout semble excessif, irréel, presque comique. Mais derrière cette avalanche de dépenses insensées, le film met en lumière un mécanisme bien réel : celui de la dérive budgétaire quand plus personne ne contrôle rien. La scène où Jordan jette des billets depuis son yacht cristallise parfaitement cette idée… C’est une métaphore de sa décadenc


Titanic : Un capitaine dans le déni
Le Titanic est une tragédie qui dépasse le naufrage lui-même. C’est l’histoire d’un capitaine qui continue à avancer droit devant, malgré les signaux d’alerte. Il savait mais il n’a rien changé : ni la trajectoire, ni la vitesse, ni la stratégie. Et même au moment du naufrage, l’orchestre continue de jouer. Ce n’est pas l’iceberg le danger. C’est le déni et le refus de le voir. Dans l’entreprise, l’iceberg prend souvent la forme de coûts qui dérivent lentement : des abonnemen
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